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2 mars 2005

des nouvelles du café littéraire

J'ai participé,  hier soir, à mon troisième café littéraire organisé par une bande de copains. François Thomazeau, Patrick Coulomb ont eu l'idée généreuse et le courage de créer leur propre maison d'édition  "L'écallier du Sud". Ils organisent dans un restaurant pittoresque le "Don Corleone" des manifestations régulières à l'occasion desquelles des auteurs viennent débattre avec le public sur un thème pécis et accessoirement présenter leurs ouvrages... 

Le mois dernier la présence d'un policier de base, comme il s'est défini Michel Jacquet ainsi qu'un documentariste Xavier-Marie Bonnot* auteurs de romans policers a dooné lieu à un débat sur les relations qui peuvent exister entre ces deux professions, et celles non moins intéressantes qu'ils entretiennent avec les personnes ayant maille à partir avec le justice. Il a été possible d'en savoir un peu plus sur le métier de policier et sur ce que sont véritablement "leurs clients".

*  (eh oui il semblerait que ce terme existe, il s'agit d'un journaliste réalisant des documentaires pour la TV ou le cinéma

 

sur la photo de gauche à droite Serge Scotto le maître de céremonie, Michel Jacquet ey Xavier-Marie Bonnot.

 


Hier soir le sujet était plus ambitieux  "Marseille ville de Polar". Robert Vigouroux, l'ancien maire était l'invité, il nous a raconté quelques anecdotes intéressantes certes, mais restant sur sa réserve, il n'a pas dévoilé de "scoop".

 

de gauche à droite Patrick Coulomb, Serge Scotto et Robert Vigouroux

La discussion que j'ai eue lors du repas qui a suivi le débat m'a permis par contre de rencontrer des passionnés de romans policiers, romans noirs et de littérature tout simplement. Nous avons évoqué nos auteurs favoris, nos goûts littéraires. Nous étions d'accord pour reconnaître le rôle majeur qu'a joué Jean Claude Izzo. Pour certains il est à l'origine du renouveau du Polar Marseillais. D'autres considèrent que ce genre n'existe pas, mais pensent que sa notoriété aurait bénéficié également à d'autres auteurs leur permettant d'émerger dans son sillage, suscitant par ailleurs des vocations.  

Dernier point il m'a été fortement conseillé d'aller faire un tour sur le site  Mauvais Genre

à suivre...

 

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Hé oui! Un documentariste et un cinéaste qui est spécialisé dans le documentaire. Ce qui signifie que je ne suis pas titulaire d'une carte de presse et ne souhaite pas l'être. C'est pas de ma faute si les journalistes se sont mis à faire du documentaire. Pour nous tout à commencer avec les frères Lumière, Flaherty... Grierson et Chris MArker ont suivi... <br /> Ce qui fait la différence: le documentariste est un drôle de type qui ne sait pas tout et qui a tout à aprendre du monde qu'il filme. A l'inverse du journaliste qui a toujours tout vu et tout entendu.<br /> A bientôt cher passionné de café littéraire.
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