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14 septembre 2007

Guy Carlier, Jacques Martin , Agnès Bonfillon et Nicolas Demorand

Nous sommes vendredi matin et j'attendais la chronique de Guy Carlier comme promis(?) sur le site de la radio.

Ah oui j'oubliais les promesses n'engagent que ceux  qui les croient!

Alors il est probable que des chers z'auditeurs de France Inter s'interrogent comme moi sur les raisons de l'absence de Guy Carlier dans le 7h 10h de Nicolas Demorand. On aurait pu imaginer lui voir proposer quelques minutes dans le 7 – 9-30 rallongé de 30 minutes.

 

Cela n'a rien à voir avec l'anecdote peu ragoutante dont nous fit part Agnès Bonfillon à la fin de son journal de ce jour : « Les mésaventures d'une égyptienne et les raisons de son divorce ». 

 

Ah où avais-je la tête , c'est à cause du bébé!!!!. celui de Guy et de son épouse bien sûr.

 

Au moment où l'on apprend le décès de Jacques Martin, j'imagine qu'il aurait changé son sujet et évoqué la mémoire  de l'artiste aujourd'hui disparu.

Rappelons nous  la chronique diffusée sur cette antenne et dans laquelle monsieur Carlier disait son admiration pour Maître Jacques et avait une pensée émue pour ce vieux monsieur, malade,  quelque peu délaissé semble - t - il par une partie de son entourage. 

Il n'est pas certain que l'on puisse la réécouter ici. Elle figure fort heureusement dans le dernier livre de Guy Carlier «  Quand j'étais méchant ». C'est un des plus beaux hommages qui puissent être rendus à Jacques Martin.

 

Il y a fort longtemps, adolescent, je lisais à la maison, « Télé 7 Jours » l'un des deux magazines de télévision diffusés à l'époque. J'ai le souvenir d'un article dans lequel Jacques Martin, jeune marié par un maire encore plus jeune que lui disait tout le bien qu'il pensait de son « nouveau copain ». Il y faisait aussi l'éloge d'un très grand compositeur de musique, grand père si je ne m'abuse de sa nouvelle et jeune épouse. 

C'était pathétique, l'article sonnait faux.

Il me parait difficile d'accéder aux archives de ce magazine. J'aurais aimé relire cet article.

 

Qu'il parte en paix, « son copain », « le maire de ses enfants » , comme il se plaisait à le nommer selon Guy Carlier veille!

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