Mais que se passe - t - il donc? Faut -il croire les statistiques publiées par canal blog?

Alors que je m'apprêtais à publier un nouveau message, l'idée me vint de consulter les statistiques de fréquentation du blog. Quelle ne fut pas ma surprise, à 3 heures de l'après-midi un trentaine d'habitués, ainsi qu'un millier environ de nouveaux visiteurs avaient consulté quatre mille pages. Ce n'était jamais arrivé jusqu'à ce jour.

J'ai eu récemment l'occasion de m'interroger sur les raisons de  l'augmentation du nombre de visites sur le blog, mais aujourd'hui cela prend une toute autre dimension.

Il n'y a pas eu de récent message sur les sujets les plus populaires de ce blog.

Quoique pêle-mêle j'aurais du  dès lundi déplorer l'absence de Nicolas Demorand, remplacé par Eric Delvaux qui montra plus de pugnacité à contraindre un auditeur qui commentait la sujet et les réponses ou absence de réponse de son invité politique du jour les réponses de son invité politique plutôt que de revenir à la charge et pousser son invité politique à donner de véritables réponses et ne pas se réfugier dans la sempiternelle langue de bois... Ce n'est pas la trop courte intervention de Thomas Legrand qui n'a pu hélas rétablir la situation, il n'était pas là pour mener les débats et n'a pu donc rebondir ....

Je persiste et signe pour souligner la qualité des chroniques de Thomas Legrand, ce qui hélas nous prive des billets de Françoise Degois.

Y a t -il un pacte (de non agression?) entre Nicolas et Agnès, les taquineries, le ton mordants, les piques me paraissent moins vives,

Il n'en est rien, apparemment, entre Agnès Bonfillon  et Stéphane Guillon, qui une fois de plus s'est cru obligé de s'en prendre à la journaliste. Les lecteurs habitués du blog savent que ce type de provocation gâche hélas une partie de sa chronique. La répétition est une forme de comique apprenait-on à l'école, serait-ce de sa part, une partie de billard à trois bandes, une manière de faire réagir les auditeurs ( oui ceux de Paris Inter!...), en s'en prenant exclusivement à la présentatrice du journal. Seule à ses yeux, Hélène Jouan, de part certains de ses choix vestimentaires pouvait courir quelques risques ce matin, Stéphane Guillon ne tenterait -il pas de se bien faire voir de la (sa) chef, en la flattant et en déconsidérant sa collègue?

Non j'arrête la car je déblogue, mon intention était tout simplement d'ajouter un nouveau "décalage de son" extrait de l'"Album de la Comtesse", Les chambres vont siffler.