Eric Delvaux et l'interim de Nicolas Demorand, retour sur le 7/10 de cette semaine
Chausser les charentaises et porter le jogging de Nicolas Demorand n'est surement pas un exercice facile. Il nous faut faire confiance pour cette cette description vestimentaire aux chroniqueurs Didier Porte et Stéphane Guillon.
Avec des charentaises, on court le risque de se prendre les pieds dans le tapis, c'est ce qu'il advint ce matin hélas, à Eric Delvaux qui,faisant la promotion de Didier Porte au "Fou du Roi" annonça, d'un ton qui essayait d'être sobre et neutre, la présence de Carla Bruni-Tedeschi parmi les invités de Stéphane Bern , et ce sans plus de commentaire. "Ouf", aurait on pu entendre si l'on avait la capacité de lire les dans les pensées du journaliste, il avait franchi sans trop de dégâts cette rude et effroyable épreuve.
Hélas pour Eric Delvaux, probablement impressionné voire tétanisé par cette annonce et ne voulant pas commettre d'impair, il commit l'erreur fatale. Il ne s'agissait pas de Carla mais de sa sœur Valéria. Rectifiant immédiatement son erreur à l'antenne il réduisit à néant ses efforts (réels ou feints?) d'objectivité.
Cette erreur de casting fut déplorée, un peu plus trad, par Didier Porte, qui expliqua dans sa chronique du "Fou du Roi" les raisons de sa préférence.
Heureusement que le déroulement du Sept Dix n'a pas toujours le niveau de tension que l'on vient d'évoquer avec l'épisode précédent. Il existe des moments moins stressants. Les relations qu'Eric Delvaux entretient avec Agnès Bonfillon sont heureusement plus détendues. Sans cela la gravité des questions abordées serait insupportable pour l'auditeur.
On pu noter qu'il fut attentif, (sensible?) au cri d'amour de l'autruche et proposa, avec une certaine élégance, après en avoir consommé la viande, de lui offrir les plumes de l'oiseau.
Est-ce l'affluence croissante sur ce blog qui me pousse à débloguer de cette façon?