Stéphane Guillon : s'il devait partir se serait dommage, il est en progrès

Belle chronique  ce matin encore. Oui dirons certain, avec Nanard c'est facile, bien sûr, c'est un bon client, mais quand même il faut le faire. Certes Stéphane a commis quelques maladresses, citant le nom de l'ancien président du conseil constitutionnel, oui là où il s'était éclaté au moins de novembre dernier, l'un des trois "sages" il fait une petite erreur en prononçant Ma - Zé - O, non Mazeaud se prononce Maso, comme Jo l'ancien rugbyman.
Il n'a pas plus de chance avec le football. Revenant sur l'affaire VA OM, il relate les mésaventures de  Jacques Glassmann qui aurait caché au fond de son jardin la somme de 250 000 francs ou 200 000 francs.  Erreur, le pauvre Jacques Glassmann, n'a a priori rien touché, c'est par lui que le scandale est arrivé, il n'a fait que dénoncer, oui il a dénoncé, ses coéquipiers et en particulier Christophe Robert qui lui était le petit cachotier.
Ces approximations peut-être dues aussi au genre de la chronique et de temps pour l'écrire sont secondaires, Stéphane Guillon, ne se présente-t-il pas comme un saltimbanque comédien, artiste, plus que journaliste et il le revendique.
C'est la raison pour laquelle on peut lui faire crédit sur la façon dont il juge nanard, oui le batteleur, celui qui de Terraillon, à La vie Claire, en passant par Manufrance, Adidas, l'OM etc.. n'a cessé de brûler les planches, comme le font aujourd'hui les salariés licenciés devant les usines qui ferment, mais eux ils brûlent des palettes...

j'arrête là car je déblogue