Frédéric Pommier chroniqueur culturel,

Et bien il fait mieux que le titulaire du poste, qui nous a habitué à mieux et se croit obligé, rentrée littéraire oblige, de participer au matraquage médiatique de la rentrée en invitant le frère du PDG d'un groupe industriel producteur d'énergie et concurrent de l'opérateur historique, pour employer le jargon à la mode et ne peur faire aucune publicité.
Donc bravo à Frédéric Pommier, et une suggestion pourquoi, l'an prochain, ne pas aller rencontrer les vacanciers sur la plage et les interroger sur leurs lectures.

La plage que je fréquente habituellement est suffisamment étendue pour qu'il soit impossible de lire le journal du voisin de serviette. Je ne peux m'empêcher d'essayer de découvrir le titre des nombreux ouvrages ouverts sur le sable. Je n'ai pas osé aller à la rencontre des gens et les interroger sur leurs lectures préférant de mon côté les miennes. Peut-être aurai-je l'occasion de voir Frédéric Pommier en tong sur le sable, un micro à la main, pour une chronique estivale. Il faudra pour cela attendre l'année prochaine.