13 mai 2011
Pensées provisoirement définitives. 7 : pour 500 jours de captivité
Marc Voinchet n'a pas fait fort ce matin. Une grosse maladresse dirons-nous lorsqu'évoquant les 500 jours de captivité des deux journalistes en Afghanistan, il bafouilla et buta sur le nom et le prénom de l'un des deux otages. Ce ne fut jamais le cas...