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2 janvier 2011

Décalage de son N° 2

Pour le moment je m'y tiens.Et pour ce deuxième message je retiens un problème, classique, selon Yvan Audouard. Celui qui  introduisit la Comtesse Maxime de la Falaise au Canard.raconte, dans la préface du Manuel de Contrepet de Joël Martin, l'anecdote suivante. 
Responsable à l'époque de "L'album de la comtesse", il un appel téléphonique d'un chef d'entreprise désespéré.
"-Je dirige un petit atelier de dessin industriel. Vous m'avez déjà coûté deux cents heures de travail. Mes dix-huit employés n'ont plus l'esprit à ce qu'ils font. Ils n'arrivent pas à trouver la contrepèterie de la semaine".
Elle était classique précise avec malice l'auteur de l'antistrophe, c'était le fameux "Aucun homme n'est jamais assez fort pour ce calcul"
Classique certes mais est-elle pour autant évidente, cela est moins sûr. Comme les dessinateurs industriels de l'époque il m'arrive assez fréquemment de ne pas les voir, mes codes sont bien rouillés!



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