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26 avril 2012

encore un jeudi pour dévoiler la contrepèterie du mercredi

Mais avant de dévoiler ce que nous a réservé la Comtesse, arrêtons-nous sur ces quelques lignes relevées dans "Philosopher ou l'art de clouer le bec aux femmes" de Frédéric Pagès. Il y raconte comment le célèbre philosophe Jean-Baptiste Botul qui a entretenu entre autre une correspondance inédite avec  Henri-Désiré Landru "débarque à Paris en 1920 venant des ses Hautes Corbières natales, il se trompe d'adresse et croyant toquer à la porte d'un giguette, sonne au portail d'Emilienne de Queylard, rue des Trois Frères, à Montmartre. Par un mystérieux concours de circonstances il se trouve invité à un mardi philosophique de la comtesse....."p 64 

Cette comtesse, aurait-elle un lien de parenté avec la fameuse Comtesse Maxime de la Falaise?

Dans la lettre B1 du 8 novembre 1921 parue dans  la correspondance inédite ente Henri-Désiré Landru et   Jean-Baptiste Botul  "Landru  précurseur du féminisme", le philosophe fait part de ses réflexions " Je suis absorbé par le vide qui m'habite. Je suis entraîné par mon vit qui me vide". Voilà qui aidera sûrement, au moment des révisions du bac,  "les potaches qui finiront bien par avoir quelque lueur, à force de sécher". ( merci Comtesse pour cet énième emprunt).

Mais venons en au titre de cette semaine : "L'affreux mal coté" , et aux explications qui suivent " Il trouve son Front trop côté et l'équipe de Marine irrite le petit pas beau...


Vos lecteurs ont proposé : "Devant les tribulations des copains, Nico moins animé et claqué, a plus d'âcreté dans ses expressions. ...

On relève aussi

"Eva je peux arroser ta menthe en tant qu'Hulot."

La suite est à lire dans le Palmipède

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