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7 janvier 2005

la morale: il n'y a pas de morale

Cet attrape-nigaud, haut lieu de la techno,

pour un triste Charlot et ses beaux idéaux,

se révéla, un jour, un sombre marigaud

duquel il se sauva. Mais il reste en lambeaux!

 

Un sémillant "Gaucho", Matador de taureaux,

mais vrai second couteau, d'un Bobo Démago,

voulut croiser le fer, avec de faux prolots,

vrais joueurs de pipeaux, menés par Maestro.

 

Quelques mauvais copeaux et voilà aussitôt

le "Brave Torrero" transformé en taureau

suivi par son jumeau aujourd'hui tout penaud

tel un vrai char d'assaut il sema le chaos.

 

On entendit alors, un mauvais concerto

donné par le Bobo, joué par les pipeaux

repris pianissimo suivi d'un crescendo

de l'éclatant solo donné par Maestro.

 

Tapis dans la peine ombre, le pseudo intello

depuis longtemps déjà construisait ses ilôts

tel un joueur de Go pour refermer l'étau

et contraindre Charlot à quitter le bateau.

 

Ca y est c'est le moment, il faut aller presto.

L'inconséquent jeunot à son impresario

sans le vouloir sciemment apporte sur un plateau

le prétexte attendu pour désouder Charlot.

 

Tous les moyens sont bons, Lou Ravi au crénau

crie où est le magot? L'égérie du labo

demande à Charlot que Bobo joue les héros

pendant que celui-ci achète Maestro.

 

Le pseudo écolo et ses seconds couteaux

jouant sur deux tableaux, se proclamant GO,

avec des trémolos annonçant le chaos

rassemblent  les gogos pour sauver le bateau.

 

Las de l'imbroglio Charlot et ses potos

descendent du bateau emportés par les flots.

Victimes d'un complot ou maladroits nigauds?

Ce fut assurément un mauvais scénario.

 

la morale de cette histoire? (imaginaire bien entendu)

Il n'y en a pas.

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